FAQ

Le chargeur livré avec le vélo ne fonctionne que sur le 220 volts, mais il existe des convertisseurs qui se branchent sur l’allume-cigare et qui transforment le 12 volts en 220 volts. Le plus petit des convertisseurs fera l’affaire (100 ou 150 watts) et vous pourrez charger la batterie en roulant.

Tous nos vélos sont garantis 2 ans, pièces et main d’œuvre. Quelques marques proposent, si vous vous inscrivez sur leur site, une prolongation gratuite de garantie.

Lorsque le batterie approche de 10% de charge, le moteur va donner moins d’assistance. Et une fois qu’il n’y a plus assez d’énergie, le système va s’éteindre. Le plus important dans ce cas, est de ne pas attendre 1-2 jours avant de charger la batterie. Une petite heure pour que le tout se refroidisse et vous pouvez brancher le chargeur.

Non, ce n’est pas obligatoire puisque les vélos électriques ou VAE sont considérés comme des cycles traditionnels. Cependant, et pour des raisons évidentes de sécurité, nous vous conseillons vivement de porter un léger casque vélo. Cela sera toujours mieux que si vous n’en aviez pas lors d’une chute. Pour info : 1 lésion sur 5 lors d’une chute de vélo touche directement la tête.

Non, en règle générale pour des petits trajets (- de 2 km) sous risque de « biberonnage » (recharges partielles très courtes). Par contre, après 10 ou 15 km, vous pouvez recharger votre batterie sans problème (pas d’effet mémoire, donc vous n’êtes pas obligé de la décharger complètement).
En général, c’est la première question que l’on pose, car on a tous, près de chez soi, une côte énorme qui ne vous donne pas envie de faire du vélo. Avec un vélo électrique de notre magasin, vous monterez la côte sans aucun problème, pas forcément vite pour les plus raides, mais sans effort. Nous vous le garantissons et vous serez les premiers surpris. En fonction du pourcentage de la côte, certains modèles sont plus adaptés. N’hésitez pas à nous contacter.

Il vous suffit d’extraire la batterie de son support en déverrouillant l’antivol et de la recharger où bon vous semble.

Oui. Le poids annoncé correspond également à une autonomie donnée et vérifiée. Les cadres de nos vélos électriques sont prévus pour supporter ce poids mais automatiquement, l’autonomie sera moindre. Dans le domaine du vélo électrique, le poids de l’utilisateur, le lieu d’évolution et la force de pédalage sont étroitement liés et déterminent par conséquent l’autonomie. Cela est valable pour l’ensemble de la gamme.

Nous vous rappelons que la partie cycle de nos vélos électriques est montée avec des pièces standards, telles que l’on en trouve sur la majorité des cycles traditionnels. Elles sont disponibles chez tout vélociste. Pour vos pneus, regardez les références sur le flan du pneu (ex : 26 x 1,95) et montez ensuite ceux que vous voulez. Rappelons que le système anti-crevaison agit au niveau de la chambre à air (gel à l’intérieur) ce qui vous permettra de conserver l’anti-crevaison avec vos nouveaux pneus.

Oui. Vous avez la possibilité de ne pas mettre le contact et de rouler comme un vélo traditionnel (rappel : pas de frein moteur à compenser si vous ne mettez pas l’assistance… nos moteurs sont montés sur roue libre). Sur le plat donc ou en légère descente, on roule ainsi sans problème. Votre autonomie sera alors beaucoup plus importante. Une petite côte en vue, et hop, on remet le contact !

Non. Dès que vous arrêtez de pédaler, le moteur s’arrête. Il ne s’agit ni d’un scooter, ni d’un solex mais bel et bien d’un vélo ! (La législation « cycle » nous l’interdit également). Mais attention, pédaler sur nos vélos électriques ne signifie pas obligatoirement forcer !

Bien sûr, et heureusement d’ailleurs (sinon aucun intérêt…). Lorsque nous sommes en démonstration, la première réflexion est celle-ci : « ça doit être lourd ! ». Évidemment, à l’arrêt, le poids est sensible comme pourrait l’être, toute proportion gardée, une moto par exemple. Mais dès le moindre coup de pédale, le moteur s’enclenche et vient soulager votre coup de jarret (impression de quelqu’un qui vous pousse fortement). Les premières fois en général, et après un tour de pédale, on a même tendance à freiner pour ralentir le vélo !

Oui, comme sur tout vélo (sauf sur nos modèles pliants et tricycles). Les modèles de fixation sur porte-bagage sont conseillés. Nous sommes là pour vous aider à choisir.

Oui mais, selon le vélo électrique, il faut choisir un modèle qui se fixe soit sur le bras de fourche arrière soit sur l’axe du moteur/moyeu arrière (pour les modèles qui ont les fils d’alimentation décalés). Nous pouvons vous conseiller.

Oui, puisque que les vélos électriques sont des vélos légalement.

Pédaler sur un vélo électrique reste comme sur un vélo normal mais, il faut ajouter le poids du moteur et de la batterie. Le moteur est monté sur une roue libre, il ne va donc pratiquement pas vous freiner, par contre il alourdit votre vélo de quelques kilos. Les batteries en Lithium pèsent 3 à 4 kg. Un vélo électrique, sans être branché, est un vélo avec quelques kilos de plus. Les modèles ayant des vitesses auront un avantage, car vous pourrez mouliner donc moins forcer. Il est très rare que nos clients tombent en panne de batterie, car chaque vélo dispose d’un indicateur de charge, semblable à une jauge à essence sur une voiture. Évidemment, il faut le surveiller de temps en temps. Un vélo électrique a un certain rayon d’action, l’utilisateur doit le gérer en conséquence.

Votre vélo électrique s’utilise alors comme une bicyclette classique, un peu plus lourde évidemment ! Vous pouvez vous fier à la jauge de batterie (fonctionnement idem à celui d’une jauge à essence sur une voiture). Vous pouvez même rouler sans batterie sans risque de détérioration du moteur car, celui-ci est monté sur une roue libre.

Pour les mono-vitesses, vous pouvez gravir des pentes jusqu’à 8-10 % sans risquer de trop peiner durant l’ascension. Au-delà, vous devrez appuyer un peu plus fort sur les pédales pour arriver en haut. Les modèles avec vitesses peuvent monter des rampes de 10 à 15% grâce à la démultiplication… Pas forcément vite, mais sans effort. Vous serez surpris par la puissance.

Tous nos vélos électriques ont une autonomie comprise entre 40 et 60 km, cela dépend du lieu où vous évoluez, de l’effort physique que vous fournissez, de la pression de vos pneus, de la capacité de la batterie, de la puissance du moteur, du vent..

Aucune sur le vélo. Pour la batterie, bien la recharger avant de la stocker. Les batteries doivent être chargée au 2/3 si vous voulez qu’elle s’use le moins possible pendant le stockage prolongé.

Oui. L’assistance électrique ne se met en marche qu’à partir du moment où le capteur couple, fixé dans le moteur, reconnaît une pression sur la pédale. Cela est obligatoire en Suisse.

Non. Ils sont juste un peu plus lourds du fait de la masse de la batterie. Cette impression de supplément de poids disparaît totalement dès que vous commencez à rouler.

Oui, il n’y a aucun danger à circuler sous la pluie, car les organes électriques sont protégés hermétiquement avec du silicone. Cependant, vous ne devez jamais immerger le moteur et autres dispositifs électriques sous risque de les court-circuiter.

En effet, le poids est plus important qu’un vélo classique, principalement à cause de la batterie et du moteur. Mais dès que vous appuyez sur la pédale, l’impression de poids disparaît complètement. Au début, on a même tendance à freiner après avoir parcouru 3 mètres tellement l’assistance est efficace.
Pour transporter votre vélo électrique, sa batterie est amovible. Vous retrouvez alors approximativement le poids d’un vélo classique, hormis le moteur qui reste fixe. La recherche du gain de poids n’est pas le critère le plus important contrairement à un vélo classique. Dès lors qu’il y a un moteur, le poids doit être comparé à une puissance (exemple de la moto : lourde à l’arrêt mais capable d’accélérations fulgurantes).

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